1 juin 2007
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A la proue du courrier, déchirant le brouillard,
Soudain l’île apparaît, à la fois verte et grise,
Découvrant tout au nord, fantomatique, son phare…
Ses oiseaux, par centaines, emportés par la brise.
Sur les lèvres, l’on goûte, le délicat parfum,
De l’écume salée, qui se mêle aux saveurs,
De ses roches, de sa flore, aux arômes si fins.
Voilà, vous approchez, de ce havre de bonheur…
Les maisons de couleur, vous accueillent d’abord,
Tous ces bars animés, paraissent vous attendre…
Le verbe est souvent haut, la verve emplit le port,
Et par cette douce ambiance, vous vous laisserez prendre…