18 mai 2013
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Ces troublantes stridences
Qui m’oppressent et me blessent
Marinent ma conscience
Dans l’onde des tristesses
Et les feux de mon âme
Lors se couchent lascifs
Divaguent puis se pâment
A l’ombre des récifs
Houles de mes pensées
En ultime ressac
Vous me narrez froissés
Vos accents élégiaques
Les lueurs funéraires
D’un simple préavis
Ne pourront me distraire
Au soir de cette vie…